Circuit 13 – Le domaine de Port-Royal

Circuit n°13

moyen

15 km

4h à pied

sportif

  • Sortez du côté opposé du hall de gare.
  • Longez la voie ferrée avenue de la Gare.
  • Contournez l’école puis continuez tout droit jusqu’à l’Espace Culturel Aimé Césaire.
  • Prenez à droite sur l’avenue du Général Leclerc, puis à gauche sur l’avenue du Chemin Vert. Après 600 m, prenez à gauche le sentier qui longe la rigole du Lit de Rivière. Au bout, prenez à gauche pour rejoindre l’étang des Noës.
  • Continuez le long de la rigole jusqu’à la route départementale 58. Traversez-la, passez le portique du parking et serrez à droite pour emprunter le chemin forestier direction Le Manet / Port Royal. Suivez cette direction sur 1,4 km, puis bifurquez à droite pour prendre le sentier qui longe le Rhodon.
  • Suivre le cours d’eau et restez sur le chemin jusqu’à l’Abbaye de Port Royal des Champs.
  • Contournez l’enceinte sur le chemin Jean Racine puis prenez à gauche pour suivre la direction du Musée National des Granges de Port-Royal. Une fois devant le musée, continuez tout droit le long du champs pour rentrer de nouveau dans la forêt et rejoindre 1,6 km plus loin le Carrefour des Huit Routes.
  • Avant de prendre la direction des Noës pour rejoindre le point de départ, vous pouvez faire un détour par l’étang du Manet puis revenir sur vos pas pour suivre la direction Les Noës. Vous retrouverez le parking, la route départementale 58, puis l’étang des Noës. Contournez-le par l’autre côté, puis retrouvez l’avenue du Chemin Vert, l’avenue du Général Leclerc, puis l’avenue de la Gare jusqu’au point de départ.

Créé en 1684 par Vauban à l’initiative de Louis XIV, il appartient au réseau hydraulique des étangs, rigoles et aqueducs qui alimente les grandes eaux du parc du château de Versailles. L’étang a une surface de 24 hectares et accueille aussi bien des oiseaux sédentaires que migrateurs, dont 14 espèces protégées sur 96 recensées.
Projet paysager du groupement Véolia/OTV, retenu pour la conception, la construction et l’exploitation de la station d’épuration.
La station d’épuration n’est plus un objet que l’on cache, elle devient un outil performant qui contribue à la restauration de la qualité de l’eau et des milieux naturels. Le SIAHVY a lancé un grand projet de reconstruction, dont l’objectif principal est d’avoir un niveau de traitement performant, adapté au milieu naturel.

Elle a été fondée en 1204 par Mathilde de Garlande sur le vallon Porrois, d’où son nom. Considérée comme une extension féminine de l’abbaye des Vaux-de-Cernay, qui est masculine, elle deviendra l’une des plus puissantes abbayes du Bassin Parisien, tirant ses ressources de la possession de terres agricoles et forestières. Au cours des siècles, l’abbaye entre ensuite dans une période difficile. La guerre de Cent Ans est particulièrement destructrice, les épidémies se succèdent et des difficultés économiques apparaissent…
En 1710, le Conseil d’État ordonne la démolition de l’abbaye. Elle est rasée à la poudre, ses pierres sont vendues ou récupérées par les habitants des alentours. Aujourd’hui, il reste peu de vestiges : l’étang d’où sort le Rhodon, le moulin, le colombier, les caves du petit palais, la fontaine, et les fondations des murs de l’église avec la base des piliers et des colonnes.

Cette promenade vous fera découvrir un lac de 24 hectares où l’on peut observer de nombreuses espèces d’oiseaux et les vestiges d'une abbaye centenaire.

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