Bernache du Canada
Branta canadensis
Habitat :
Elles nichent dans presque tous les types de terres humides, c’est-à-dire de petits étangs mais aussi de grands lacs et rivières. Elle passe autant de temps, sinon plus, sur la terre que dans l’eau.
Comportement : En période hivernale, elle se mêle à des troupes d’autres bernaches comme la nonnette. Les populations nicheuses françaises se situent surtout dans le nord de la France. Elles sont sédentaires. Une partie de la population scandinave est migratrice. Les quartiers d’hiver sont en Pologne, Allemagne et au Danemark.
Plusieurs animaux font des œufs et des jeunes bernaches leurs proies. Dans le Grand Nord, le principal prédateur est le renard arctique. Il peut voler tous les œufs de plusieurs nids et les cacher pour les manger lorsqu’il a peu de nourriture. Les mouettes et goélands, les labbes, les renards roux, les corbeaux et parfois les ours sont aussi des prédateurs.
Lors de sa migration, cette bernache adopte une formation de vol en “V” ; ainsi, celles placées en avant offrent une protection aux suivantes qui dépensent moins d’efforts parce qu’elles profitent des turbulences produites par les ailes de celles en tête. Lorsque les premières sont fatiguées, elles cèdent leur place pour aller se reposer en arrière de la formation.
Alimentation : Le régime de la Bernache du Canada est végétarien : elle se nourrit principalement d’une grande variété d’herbes, de plantes aquatiques, de laîches, de graines de céréales et de graminées, et de baies.
Reproduction / Nidification : Période de nidification : mai-juin. La Bernache du Canada niche sur le sol, près de l’eau. La femelle dépose de 4 à 8 œufs blancs. L’incubation dure environ de 23 à 30 jours, assurée par la femelle, tandis que le mâle défend le territoire. Cette espèce produit une couvée par an.
Menace / Protection : C’est la bernache la plus abondante au monde. Les populations férales (introduite retournés à l’état sauvage) européennes proviennent de l’introduction à titre esthétique en Grande-Bretagne au XVIIIe siècle et cynégétique en Suède dans la première moitié du XXe siècle. Pas de menaces particulières sur l’espèce. Espèce en expansion sur le continent.
Comportement : En période hivernale, elle se mêle à des troupes d’autres bernaches comme la nonnette. Les populations nicheuses françaises se situent surtout dans le nord de la France. Elles sont sédentaires. Une partie de la population scandinave est migratrice. Les quartiers d’hiver sont en Pologne, Allemagne et au Danemark.
Plusieurs animaux font des œufs et des jeunes bernaches leurs proies. Dans le Grand Nord, le principal prédateur est le renard arctique. Il peut voler tous les œufs de plusieurs nids et les cacher pour les manger lorsqu’il a peu de nourriture. Les mouettes et goélands, les labbes, les renards roux, les corbeaux et parfois les ours sont aussi des prédateurs.
Lors de sa migration, cette bernache adopte une formation de vol en “V” ; ainsi, celles placées en avant offrent une protection aux suivantes qui dépensent moins d’efforts parce qu’elles profitent des turbulences produites par les ailes de celles en tête. Lorsque les premières sont fatiguées, elles cèdent leur place pour aller se reposer en arrière de la formation.
Alimentation : Le régime de la Bernache du Canada est végétarien : elle se nourrit principalement d’une grande variété d’herbes, de plantes aquatiques, de laîches, de graines de céréales et de graminées, et de baies.
Reproduction / Nidification : Période de nidification : mai-juin. La Bernache du Canada niche sur le sol, près de l’eau. La femelle dépose de 4 à 8 œufs blancs. L’incubation dure environ de 23 à 30 jours, assurée par la femelle, tandis que le mâle défend le territoire. Cette espèce produit une couvée par an.
Menace / Protection : C’est la bernache la plus abondante au monde. Les populations férales (introduite retournés à l’état sauvage) européennes proviennent de l’introduction à titre esthétique en Grande-Bretagne au XVIIIe siècle et cynégétique en Suède dans la première moitié du XXe siècle. Pas de menaces particulières sur l’espèce. Espèce en expansion sur le continent.
Le saviez-vous ?
La Bernache du Canada peut parcourir plus de 1000 km en une journée.
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